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     GP de Malaisie : Red Bull risque l'exclusion

    Ce matin les dirigeants de l’écurie Red Bull Racing ont été convoqués par la FIA pour répondre de l’incident survenu en piste pendant les essais libres du Grand Prix de Malaisie où David Coulthard était méchamment sorti de piste après que sa suspension ait cédée tout comme en Australie la semaine dernière.

    Pendant cette réunion, l’équipe Red Bull a dû se justifier auprès de la FIA et les convaincre de ne pas les interdire de prendre le départ du Grand Prix pour garantir la sécurité des autres pilotes.

    Un rapport établit par la FIA précise : « Après avoir rencontré les représentants de l’écurie Red Bull Racing en ce qui concerne l’incident impliquant la voiture n°9 dans le premier partiel, il a été demandé qu’un rapport soit fourni, vérifiant que l’intégrité de la suspension est telle qu’elle ne devrait pas mettre en danger les pilotes en vertu de l’article 2.3 du règlement technique de Formule 1. »

    Cet article stipule d’ailleurs, que la FIA se réserve le droit d’exclure n’importe quel véhicule dont la construction est considérée comme dangereuse.

    Horner, directeur sportif de l’écurie, s’est dit convaincu après la réunion, qu’il n’y avait aucun souci de conception avec la RB4.

    « Nous avons parcouru plus de 10000 km d’essais avec ces composants et jamais aucune faiblesse n’est apparue. Il semblerait que ce soit simplement une erreur humaine et pas un problème technique. Nous n’avons donc aucune inquiétude sur le niveau de sécurité de notre monoplace, » affirmait-il.

    Le directeur technique - Adrian Newey - est lui aussi convaincu que le problème n’est pas de nature à mettre an danger le plateau de Formule 1 : « Il s’agit d’un problème que nous avons identifié, il a été corrigé et je suis convaincu qu’il ne posera plus de problème pour la suite du Grand Prix. »


    Source: Autosports.be



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    Formule 1 GP d'Australie "Une McLaren phénoménale"

    Formule 1 GP d'Australie 

    Hamilton : "Une McLaren phénoménale"

    Eurosport

    "La voiture était un rêve absolu à piloter", a déclaré Lewis Hamilton (McLaren), arrivé en vainqueur à Melbourne, dimanche.

    Ça a paru être une course linéaire pour vous, mais elle fût en fait chaotique, et très chaude. Et puis, Robert Kubica était près de vous en début de grand prix...

    Lewis Hamilton : Oui, Robert [Kubica] et moi avons pris un bon départ, je pense qu'il a eu un peu de patinage de ma part et nous étions proches l'un de l'autre au premier virage. Mais j'ai pu creuser un bon écart à partir de la sortie du premier virage ; de là, il fallait prendre prendre les choses de façon froide, surveiller les pneus. Je me suis fixé une allure, sans en faire trop. Avec l'avance prise, j'ai pu préserver mes pneus. Dans le deuxième relais, il y a une safety car et j'ai appuyé sur l'accélérateur. C'était un peu comme lors de ma première victoire, l'an dernier, au Canada, où la safety car était sortie quatre fois. Cela avait été difficile de monter les pneus et les freins en température. C'était donc un bon défi.

    Votre équipe a bien géré la période de safety car. Vous avez ravitaillé au bon moment...

    L.H. : Oui, ils ont fait un boulot fantastique, comme toujours. Je dois leur adresser un grand merci. La voiture était phénoménale. Elle était un rêve absolu à piloter, comparé à la voiture que nous avions l'année dernière. Fixer mes deux pit stops assez tôt nous a aidés en termes de safety car. Ça nous a mis hors des ennuis.

    La course de l'année dernière n'avait pas été si facile ?

    L.H. : Elle avait été assez rude. Pas aussi chaude peut-être, mais en arrivant ma préparation était meilleure. Je suis probablement deux fois plus en forme que l'an dernier. Mais la voiture était aussi vraiment fantastique et plus facile à piloter.

    Parlez-nous de votre stratégie, que vous avez du surveiller...

    L.H. : L'équipe a regardé ça sous tous les angles, elle a tout analysé. Nous avons fait une course fantastique du point de vue de la stratégie. J'ai été très très chanceux d'observer mes ravitaillements tôt. Malheureusement, ce ne fût pas le cas pour Heikki lors de la période de safety.

    Y avait-il une différence entre les deux types de pneus ("medium" et "tendre") ?

    L.H. : Pour être honnête, il n'y en avait pas. Aux essais, les deux ont souffert mais les "tendre" développaient un fort grainage. Mais je les ai plutôt bien gérés et ils étaient assez similaires. Les "tendre" étaient plus rapide mais la piste a bien emmagasiné de la gomme et le grainage ne nous a pas affectés.

    La course a été chaude et longue. Vous paraissez en pleine forme. Comment était-ce dans le cockpit ?

    L.H. : Je suis dans une forme fantastique. Je n'ai jamais pensé qu'on aurait un peu d'air dans la voiture. C'est une super préparation pour le Grand Prix de Malaisie. Je suis impatient d'y courir.

    C'est votre cinquième succès en F1. Comment la jugez-vous par rapport à celles de l'an passé ?

    L.H. : Elle est assez différente de ma première victoire à Montréal car je ne m'y attendais pas. Là, je commence ma deuxième saison et c'était une sorte d'objectif que je m'étais fixé ; je me suis mis un peu plus de pression. Peut-être est-ce ma plus belle victoire car j'ai l'impression de m'être amélioré dans beaucoup de domaines. Mais elle n'est pas parfaite car je peux encore progresser. C'est probablement ma meilleure en termes de gestion des pneus, de contrôle de mon rythme en course, de confiance et de confort dans ma voiture.

    C'est un super début de saison pour vous et McLaren...

    L.H. : C'est le départ de saison parfait. Ça fait exactement huit ans que l'on n'avait pas partagé un podium, avec Nico [Rosberg]. Ça remonte au karting et c'est génial de faire cette nouvelle apparition ensemble. En Malaisie, il faudra continuer sur cette lancée. Comme je l'ai dit : on aurait pu aller plus vite, mais je ne suis pas très préoccupé par la vitesse des Ferrari. BMW et Williams ont fait du super boulot, nous devons continuer de pousser. J'espère un bon résultat à la prochaine course.



    Source: Eurosport

     


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    Formule 1 GP d'Australie "Pas une seule faute"

    Formule 1 GP d'Australie 

    Bourdais : "Pas une seule faute"

    AFP

    D'abord enfermé dans le trafic, Sébastien Bourdais (Toro Rosso) a saisi chaque opportunité pour progresser dans le peloton jusqu'à la 4e place à trois tours de la fin. Finalement 7e, il repart de Melbourne fort d'une précieuse expérience.

    Peut-on dire coup d'essai, coup de maître pour ces débuts en F1 ?

    S.B. : Pour une première course, si j'avais à choisir un scénario, forcément j'aurais choisi celui-là. C'est sûr, ça ne se concrétise pas par la quatrième place qu'on aurait pu avoir mais on va mettre deux points quand même. Et deux points pour un premier Grand Prix c'est pas si mal que ça !

    Racontez-nous un peu votre premier grand prix...

    S.B. : Au début, cette première course ne s'est pas vraiment passée comme je le pensais parce qu'être en bout de file comme ça c'était une horreur (il est parti 17e, ndlr). En plus, on était relativement lourd donc je ne me sentais pas du tout bien, je n'arrivais pas à déclencher les pneus, c'était tout et n'importe quoi. Au bout d'un moment, j'ai commencé à reprendre mes repères. J'ai essayé de ne pas trop m'exciter mais, les dix premiers tours, ça a été dur, dur, dur. En plus, au premier restart j'ai eu une panne de radio, donc d'un seul coup je vois le drapeau vert quand les autres mecs sont déjà tous au bout de la ligne droite et, moi, je suis encore sur le réglage pour le safety car. (Adrian) Sutil me passe. Tout faux...

    Cela s'est mieux passé ensuite...

    S.B. : Après, on a fait notre petit bonhomme de chemin et la course a commencé à se passer vraiment comme je l'attendais, avec énormément d'erreurs, beaucoup de mecs qui se sont accrochés en essayant de se doubler, parce que c'était quasiment impossible de le faire sans perdre la voiture, sans les aides au pilotage. Dès que tu te rapproches de l'auto devant toi, tu bloques les roues arrière au freinage et on ne peut plus s'arrêter. C'était vraiment injouable.

    Profitant de ces erreurs vous avez donc commencé à gagner des places...

    S.B. : Oui, et il y a eu plus de déchet qu'on ne le pensait : beaucoup se sont retrouvés dans le mauvais wagon avec le safety car, ou dans des accrochages, ou ont fait des fautes. Moi, j'ai juste essayé de garder la voiture sur la piste et ça a marché tout le week-end. Au bout du compte, je n'ai pas fait une seule faute du week-end et au niveau de la confiance ça va m'être profitable.

    Et vous réussissez un gros coup lors de la deuxième sortie de la voiture de sécurité...

    S.B. : L'équipe a été super réactive: la lumière s'éteint à l'entrée des stands et on est les premiers à rentrer. Quand j'ai entendu l'équipe me dire de rentrer, je crois que j'ai vu la lumière s'éteindre au même moment. Même moi, je me suis dit: "Mais comment ils peuvent savoir, ça vient de s'éteindre ?" Là, ça a été le tournant, du coup on se retrouve bien, on a l'essence pour aller au bout et les autres doivent encore s'arrêter.

    Ensuite vous avez réussi à maintenir derrière vous de sérieux adversaires...

    S.B. : Oui, il y avait du beau monde derrière avec Fernando Alonso et Heikki Kovalainen. Mais comme ils étaient assez occupés entre eux, j'ai commencé à faire le trou. Là, ça a commencé à sentir très bon. Je n'osais même plus regarder le panneau mais je me doutais qu'on se rapprochait de la fin. Et puis, la mécanique nous lâche. Mais j'ai déjà connu des déceptions avant, et j'en connaîtrai d'autres...

    Au final qu'avez-vous appris au cours de ce premier Grand Prix ?

    S.B. : J'ai appris que dans le trafic c'est encore pire que ce que je croyais ! Il vaut mieux se qualifier devant, parce que "c'est pas fun" quand tu es 15e et que tu as cinq autos devant: pour tenir l'auto sur la piste avec toutes les turbulences des autres voitures ce n'est pas très drôle.

    Source:Erosport



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    Formule 1 GP d'Australie 

    Qualification : déclarations


    Voici ce qu'ont dit les principaux protagonistes après la qualification du Grand Prix d'Australie, samedi à Melbourne.

    Lewis Hamilton (McLaren, pole position) : "Oui, Robert m'a mis une grosse pression. Il est plutôt rapide ici, il a fait un boulot fantastique. C'est bon de le voir là, Heikki aussi. Ce fût serré. J'ai fait un bon tour en Q1. Dans ce dernier en Q3, je suis parvenu à réunir tous les éléments. Piloter sans contrôle de traction est un peu différent, ça demande le meilleur des pilotes, ça les pousse à se donner au maximum. La voiture a été fantastique, l'équipe a fait un boulot fantastique. Etre en pole en un sentiment génial, mais il y a toujours possibilité de faire mieux. Mon tour a très bien commencé mais l'écart au bout du compte est minime. J'avais une grosse mais dans le dernier virage j'ai vu une Williams devant. J'ai deux-trois secondes derrière sur la plupart du tour. Ça a eu un impact mais je suis content du résultats".

    Heikki Kovalainen (McLaren, 3e) : "Tout le week-end s'est passé en douceur. J'ai abordé les choses de façon stable afin de ne pas faire d'erreurs, en attaquant un peu tout le temps. Ma Q1 a été correcte, la voiture était bien équilibrée sur toute la séance. Je suis parvenu à faire un bon tour à la fin. C'est un bon début avec ma nouvelle équipe. J'y suis très heureux et je suis impatient de vivre cette saison. Il y a une super motivation dans l'équipe. Je suis persuadé d'avoir un avenir solide avec eux".

    Norbert Haug (Mercedes-Benz Motorsport, vice-président) : "C'est un début de saison parfait. Les deux pilotes ont fait du super boulot. Félicitations à BMW. Leur deuxième place fait que la 1ère est entièrement motorisée par l'Allemagne".

    Robert Kubica (BMW, 2e) : "J'ai pris beaucoup de risques dans mon second run en Q3, mais finalement ça n'a pas payé. Malheureusement, j'ai commis une erreur en partant large dans un virage N.12, où j'ai perdu deux ou trois dixièmes de seconde. Mais c'est le risque quand on cherche un bon résultat en qualification. Ça n'a pas payé et j'y ai plus perdu que gagné car j'avais de quoi être devant Lewis. Cependant, c'est un super résultat pour l'équipe car le début de la saison et le début des essais n'ont pas été bons. La voiture de cette année est assez difficile à équilibrer, spécialement lorsque la piste est "verte". En plus de ça, il y avait du vent vendredi. Nous en avons eu en qualification mais nous avons fait du bon travail. Je ne trouve pas de différence entre piloter avec l'anti patinage et sans. Cet hiver, en tests, j'ai oublié le traction control. En revanche, je trouve la stabilité au freinage étrange sans l'assistance du frein moteur".

    Nick Heidfeld (BMW, 5e) : "Je rate la 4e place pour quelques millièmes. Toute la qualification s'est déroulée en douceur, c'est un superbe résultat pour l'équipe et meilleur qu'attendu. Après que les premiers tests hivernaux avec la F1.08 ne se soient pas bien passés, nous pouvons continuer de dire que nous travaillons dur et que nous progressons. C'est un nouveau pas dans la bonne direction pour parvenir à ce que nous voulons cette année (ndlr : remporter une première victoire). Sans traction control, le départ va être particulièrement excitant. Sur la distance d'une course, Ferrari sera plus forte qu'aujourd'hui."

    Mario Theissen (BMW Motorsport, directeur) : "Nous sommes très satisfaits. Ces 2e et 5e positions sur la grille sont le meilleur résultat depuis que le team existe. Sans sa grosse glissade dans son tour final, Robert aurait plus que probablement été en pole. Se positionner sur les trois premières lignes est ce que nous ambitionnions".

    Felipe Massa (Ferrari, 4e) : "J'ai échoué à tirer le meilleur de mon dernier train car j'ai eu du trafic dans mon tour de lancement. Je n'ai pas pu les monter en température. Je suis content de la maniabilité de la voiture, qui est bien équilibrée. Nous pouvons avoir un bon rythme de course".

    Kimi Räikkönen (Ferrari, 16e) : "Je suis clairement déçu. A quelques virages de la fin de mon tour de rentrée (en Q1), j'ai eu un problème de pompe à essence qui m'a obligé à stopper près de la pit lane. Je ne pouvais revenir seul au garage".

    Luca Baldisserri (Ferrari, responsable de l'activité piste) : "J'ai eu l'impression de voir un replay de la séance de qualification de l'an passé, mais en pire. Au sujet du déroulement de la Q3, nous savions depuis cet hiver que nous avons du mal à faire des chronos sur un tour et cette difficulté a gâché notre après-midi".

    Jarno Trulli (Toyota, 6e) : "La 6e place est un bon résultat pour ce début de saison, c'est satisfaisant. Mais ce fût une session de qualification difficile car je ne suis toujours pas complètement content du set-up, et de ce fait je n'ai pu tirer tout le parti de mon tour. Nous avons aussi eu plus de mal que prévu avec les pneus ici. Il y a de la marge question potentiel. Nos runs longs étaient bons en tests cet hiver, je croise les doigts".

    Timo Glock (Toyota, 9e + 5 places pour changement de boîte + 5 places pour obstruction en piste) : "La première qualification de mon retour en F1 (ndlr : il y couru 4 gp en 2004) s'est bien passée, je suis content d'être allé en Q3. Malheureusement, nous avons dû changer la boîte de vitesses après les libres 3, ce qui me coûte cinq places sur la grille. La Q1 fût serrée, puis le drapeau rouge a interrompu la Q2 mais j'ai ensuite fait un bon tour. J'ai perdu deux dixièmes au virage N.9 mais j'ai réussi une bonne Q3 avec un très bon dernier secteur".

    Nico Rosberg (Williams, 7e) : "Je suis plutôt content de ma qualification car nous en avons tiré presque le meilleur parti. En être là est fantastique car j'espérais que nous soyons les meilleurs du milieu de peloton et nous avons surpassé cette attente. Nous avons eu un début de week-end difficile vendredi et nous n'avons pas montré ce dont nous étions capables. Il nous reste de la marge. C'est une très bonne position pour essayer de marquer des points. La course va être rude pour toutes les voitures et je suis sûr qu'il y aura quelques problèmes d'une extrémité à l'autre de la grille".

    Kazuki Nakajima (Williams, 14e) : "Ce n'est pas le meilleur résultat qui soit mais au moins cet accès en Q2 est un progrès par rapport à ma première course (ndlr : l'an dernier au Brésil). Ce fût cette fois plus dur à cause du drapeau rouge (sortie de piste de Webber) mais il était important d'aborder les choses avec méthode. Il aurait été dur d'utiliser le temps restant pour atteindre la Q3".

    Sam Michael (Williams, directeur technique) : "Nico [Rosberg] a fait une bonne session. Le drapeau rouge en Q2 l'a malheureusement poussé à utiliser un train supplémentaire de pneus 'tendre', ce qui l'a privé du meilleur mélange pour la Q3. Sa performance n'est donc pas mauvaise. Il devrait faire une course solide. Kazuki s'est aussi fait piéger en Q2, et il n'est pas parvenu à aller en Q3. Nous allons regarder sa stratégie de près pour dynamiser sa course".

    David Coulthard (Red Bull, 8e) : "C'était piégeur avec les gommes 'medium'. Je pense qu'il va y avoir des variations pendant la course d'un type de pneus à l'autre. Nous nous attendions à être dans le top 10 mais j'aurais préféré sentir que je pouvais attaquer plus avec la voiture. Si j'attaque plus, la voiture devient instable sur les bosses".

    Mark Webber (Red Bull, 15e) : "Une pièce a cassé à l'avant droit de la voiture (ndlr : peut-être un frein). J'ai eu une sensation étrange dans le virage 1 mais j'ai continué d'attaquer car c'était une session de qualification. Mais quelque chose a cassé au virage 6. Je n'ai pu faire autrement que finir dans le gravier. C'est devenu quasi impossible de rentrer dans les points car c'est très très dur de doubler sur ce circuit".

    Sebastian Vettel (Toro Rosso, 10e) : "D'un côté, ce fût une bonne séance car j'avais un rythme solide en Q2. J'ai fait un bon tour à la fin. Malheureusement, un problème technique m'a empêché de prendre part à la Q3. Quoiqu'il arrive, j'ai prévu d'attaquer au maximum en course."

    Sebastien Bourdais (Toro Rosso, 18e) : "La voiture était vraiment solide comparé au matin où j'ai eu du mal à tout mettre en place à cause d'un kilométrage limité vendredi. J'ai fait quelques changements pour l'après-midi et je pense que nous été payés en retour. J'ai fait mon premier tour en 'medium' et j'étais compétitif. Puis, avec mon premier set 'tendre', j'ai vraiment fait un bon tour jusqu'à malheureusement commettre une faute à deux virages de la fin, ce qui a ruiné mon chrono. J'ai fait une autre tentative en fin de Q1 mais il y avait un drapeau jaune, ce qui m'a coûté trop de temps. C'est dommage car je pense que j'aurais pu aller en Q2."

    Giorgio Ascanelli (Toro Rosso, directeur technique) : "Vettel a fait du très bon boulot pour aller en Q3, mais il n'a pas pu défendre ses chances à cause d'un problème technique. Pour sa toute première séance de qualification, Bourdais aurait pu aller en Q2, mais malheureusement sa dernière tentative a été gâchée par un drapeau jaune".

    Fernando Alonso (Renault, 12e) : "Comme nous l'avions pressenti, cela été très serré. J'étais satisfait du comportement de ma monoplace ce matin mais j'ai eu un problème de différentiel en qualifications qui a perturbé l'équilibre de la voiture et l'a rendue très difficile à contrôler. Je suis persuadé que nous pourrons rebondir".

    Nelson Piquet (Renault, 21e) : "Je n'ai pas beaucoup tourné depuis le début du week-end pour diverses raisons et cela s'est vu cet après-midi pendant les qualifications".

     Vidéo: Piquet, 2e génération  

    Pat Symonds (Renault, directeur exécutif de l'Ingénierie) : "C'est une journée décevante. Nelson n'a malheureusement pas beaucoup tourné et cela s'est traduit par une qualification difficile. Avec Fernando, nous avions confortablement notre place dans le Top 10 mais un problème de différentiel sur sa voiture a compromis son effort et ne lui a pas permis de gagner sa place pour la phase ultime de cette séance".

    Denis Chevrier (Renault, responsable des Equipes motoristes en piste) : "La séance a été très disputé et je pense que nous devrons peut être nous y habituer cette année. Les écarts sont très serrés, les pilotes attaquent au maximum pour réussir à se qualifier au mieux et nous avons pu assister à plusieurs sorties de piste et même une interruption qui sont nécessairement venues perturber notre qualification. Fernando a eu un souci de différentiel qui a compromis son dernier tour pour entrer en Q3. Nelson n'a malheureusement pas roulé autant que nous l'aurions souhaité ce qui n'a pas aidé notre Brésilien pour ses débuts".

    Giancarlo Fisichella (Force India, 17e) : "17e, c'est à une place du top 16 , et de la Q2, c'est donc un peu décevant, considérant le week-end jusqu'à présent. Dans la dernière partie de mon tour rapide, il y avait un drapeau jaune. J'ai aussi du grainage, ce qui m'a coûté 0.3 sec".

    Adrian Sutil (Force India, 19e) : "Les conditions étaient assez différentes de ce matin. Le grip général était plus bas et j'ai eu du sousvirage en pneus neufs, mais le second run allait même si l'équilibre n'était pas fameux. Dans mon tour tour, ça allait jusqu'au second secteur mais dans une chicane rapide à gauche j'ai eu beaucoup de sousvirage et je suis allé large à la sortie. La voiture a sauté, je n'ai pu la contrôler et j'ai fait un tête-à-queue. C'est bête, car j'ai peut-être poussé Bourdais à lever le pied".

    Takuma Sato (Super Aguri, 20e) : "Je suis ravi ; ça c'est bien passé, compte tenu des circonstances. J'ai aimé ma première qualification sans traction control. La voiture était un peu déséquilibrée au début, mais j'ai eu plus de grip avec mon 3e set".

    Anthony Davidson (Super Aguri, 22e) : "Une session de qualification difficile pour moi. Avec une nombre limité de tours, c'est toujours d'aller en qualifcation et de trouver la limite. Dans mon dernier tour, j'étais 0.3 sec plus vite quand la Force India (Sutil) a fait son tête-à-queue. J'ai alors du ralentir".



    Eurosport

     


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    Classement Qualification

     PilotesEcuries Tempstrs
    1L. HamiltonMcLaren    1:26.71414 
    2R. KubicaBMW    1:26.86915 
    3H. KovalainenMcLaren    1:27.07913 
    4F. MassaFerrari    1:27.17812 
    5N. HeidfeldBMW    1:27.23616 
    6J. TrulliToyota    1:28.52717 
    7N. RosbergWilliams    1:28.68721 
    8D. CoulthardRed Bull    1:29.04118 
    9T. Glock Toyota    1:29.59317 
    10S. VettelToro Rosso    0:00.00018 

    11R. BarrichelloHonda    1:26.17313 
    12F. AlonsoRenault    1:26.18810 
    13J. ButtonHonda    1:26.25913 
    14K. NakajimaWilliams    1:26.41313 
    15M. WebberRed Bull    0:00.000
    16K. RäikkönenFerrari    0:00.000

    17G. FisichellaForce India    1:27.207
    18S. BourdaisToro Rosso    1:27.44610 
    19A. SutilForce India    1:27.859
    20T. SatoSuper Aguri    1:28.208
    21N. PiquetRenault    1:28.330
    22A. DavidsonSuper Aguri    1:29.059
     Bridgestone    
    Eurosport

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