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TOUS SUR LA SAISON DE FORMULE 1 CHAMPINNAT DU MONDE 2009 DES ARTICLES ! DES PHOTOS ! LES RESULTATS ! LES ECURIES ! LES PILOTES !

Championnats 2000 à 2006

GéGémag.Formula Onel'Univers de la Formule1  

 

Il était une fois...
... les saisons 2000 à 2006

Championnats : 2000  

Pour Michael Schumacher comme pour Ferrari, le championnat 2000 aura concrétisé les espoirs générés par le titre constructeur acquis en 99, reléguant ainsi aux oubliettes quelques déceptions, voire quelques doutes. Désillusionné lors du dernier acte en 97 et 98, exclus de sept résultats suite à sa fracture en 99, Michael récolta enfin le fruit de son labeur, non sans un inquiétant passage à vide en milieu de saison. À Suzuka, avant-dernière manche, Mika Häkkinen a vu s'éteindre le rêve d'inscrire son nom aux côtés de Juan Manuel Fangio, seul pilote à ce jour à avoir aligné 3 titres consécutifs.

La mainmise des grands constructeurs s'accentua avec la reprise de l'écurie Stewart par Ford via sa filiale Jaguar, mais les résultats ne furent pas à la hauteur des espérances et des budgets, comme en témoigne la dégringolade de la 4e à la 9e place au Championnat des constructeurs. Plus heureux furent les retours comme motoristes de BMW (Williams) et Honda (BAR), en remplacement du Supertec à bout de souffle.

Chez les pilotes, un "échange" offrit à Eddie Irvine un poste de no. 1 chez Jaguar, alors que Barrichello emprunta la route inverse vers Maranello. Âgé d'à peine 20 ans mais rempli de promesses, Jenson Button vint chez Williams occuper avec plus de bonheur le baquet laissé vacant par Alex Zanardi après son année catastrophique. Jarno Trulli alla chez Jordan remplacer Damon Hill parti à la retraite. Panis prit le pari de se reconstruire une motivation en sacrifiant une saison pour un poste d'essayeur chez McLaren. Alesi accepta l'offre d'Alain Prost et fit équipe avec le débutant Nick Heidfeld, champion en titre de F3000. Mika Salo, suppléant chez BAR puis Ferrari en 99, reprit le collier à temps plein chez Sauber.

 

Schumacher opportuniste

Les débuts de saison se suivent et se ressemblent à Melbourne ! Pour une troisième année d'affilée, Häkkinen et Coulthard monopolisèrent la première ligne de départ avec Michael Schumacher toujours à l'affût. Malheureusement pour les hommes de Ron Dennis, l'histoire se répéta aussi en course. Alors qu'ils parvenaient à contrôler l'Allemand, leurs moteurs Mercedes les trahirent l'un après l'autre, ouvrant la voie à un doublé Ferrari. Le même sort s'abattit sur les Jordan Mugen-Honda lorsque Trulli et Frentzen durent abandonner peu après la mi-course. Ralf Schumacher en profita pour offrir la 3e marche du podium au BMW dès sa première tentative. L'autre nouveau moteur, Honda, ne fut pas en reste avec la 4e place de Jacques Villeneuve et, derrière Fisichella, Zonta héritait du dernier point suite à la disqualification de Salo pour aileron avant non-conforme sur la Sauber. Les 2 pilotes dans les points pour le BAR, voila de quoi effacer les mauvais souvenirs de l'année précédente !

Au Grand Prix du Brésil, Peter Sauber déclara forfait après les ruptures successives de l'aileron arrière sur ses 2 bolides. Les 2 McLaren furent de nouveau les plus véloces en qualifications mais Schumacher prit les commandes dès le premier tour. Barrichello confirmait la bonne forme des Ferrari en remontant jusqu'à la 2e place quand une panne hydraulique mit fin à sa course. À son tour, Häkkinen rentrait bientôt aux puits, moteur coupé. Coulthard pensait bien avoir ouvert le compte pour l'écurie McLaren en terminant 2e mais l'inspection technique révéla une irrégularité sur l'aileron avant et la colère de l'Écossais ne modifia en rien son exclusion. Fisichella profita de l'aubaine, suivi des 2 Jordan et des 2 Williams.

Jacques Villeneuve anima les premiers mètres du GP d'Imola en prenant la mesure de 4 adversaires dès Tamburello. Bien que serré de près par Schumacher, Häkkinen semblait en voie d'inscrire un premier triomphe mais l'écurie Ferrari sortit de son chapeau une de ses stratégies de ravitaillements décalés dont elle a le secret et Michael termina la journée avec un compte parfait de 30 points au championnat. Chez McLaren, on pouvait au moins entrevoir des jours meilleurs : la fiabilité retrouvée, Mika et David grimpaient sur le podium.

 

Retour des McLaren, mais... à quoi sert la pôle ?

Si le déplacement de juillet à avril du rendez-vous de Silverstone avait pour objectif d'assurer une température plus clémente, ce fut raté ! Les averses tombées vendredi et samedi déjouèrent bien des plans et bousculèrent la hiérarchie sur la grille. Généralement habile à composer avec les aléas de Dame Nature, le leader de la scuderia fut cette fois piégé ; parti 5e, il se retrouva englué dans le peloton mais parvint à remonter à la 3e place au final. Avec une 2e victoire consécutive "à domicile", David Coulthard sonnait le réveil des troupes de Woking, Mika complétant le doublé.

À Barcelone, Schumacher dut faire face à de nouvelles embûches : son chef-mécanicien Nigel Stepney eut la cheville fracturée suite à "l'ardeur" avec laquelle Michael s'appliqua à sortir des puits, et une crevaison lente l'obligea à un arrêt supplémentaire. Ce contretemps fut à l'origine d'un "conseil de famille" après que Ralf eut été "bloqué" par son frère au profit de Barrichello. Pendant ce temps, les équipiers McLaren rééditaient le doublé, à l'avantage d'Häkkinen cette fois.

Pour le GP d'Europe, disputé sous la pluie au Nurburgring, seuls 9 pilotes évitèrent pièges et avaries sur les 21 partants, la Prost de Nick Heidfeld n'ayant pas fait le poids à l'inspection. Michael Schumacher fit une démonstration de sa "maestria" sur piste glissante en devançant ses 2 principaux adversaires.

Déjà quatre fois vainqueur à Monaco et solidement installé en tête du classement, Schumacher était désigné comme favori pour s'imposer en Principauté. Un accrochage ayant transformé le Loews en vaste stationnement, c'est avec une bonne demi-heure de retard que l'on s'élança enfin. Jarno Trulli, détenteur d'une très belle deuxième place sur la grille, devint un atout pour le leader de la scuderia en tenant tête à David Coulthard. Michael en profita pour creuser l'écart au rythme d'une seconde au tour. Après l'abandon de Trulli au 37e tour, Coulthard put enfin abaisser les chronos mais son retard était considérable. Au 55e tour, la chance tourna en sa faveur quand la Ferrari rentra au ralenti, suspension arrière affaissée, laissant l'Écossais savourer sa 2e victoire de la saison. Barrichello prenait la deuxième place, suivi de Fisichella et Irvine qui offrait un premier résultat encourageant à Jaguar.

Tous les pilotes admettent que la pôle position est un premier pas vers la victoire. Ironiquement, cette "évidence" ne fut validée qu'au 8e départ de la saison, à Montréal. Auteur d'un autre superbe départ, Villeneuve pointait en 3e place au virage Senna et contenait le peloton alors que Schumacher et Coulthard s'envolaient. La lutte à deux perdit tout son intérêt quand les commissaires infligèrent une pénalité de 10 secondes à Coulthard : ses mécaniciens avaient dû intervenir sur la grille pour relancer le moteur. Très à l'aise sous la pluie, les 2 Ferrari profitèrent d'une première averse au 23e tour, suivie d'une autre plus importante au 45e, pour s'enfuir. Au 47e tour, Schumacher fit sursauter son équipe en sortant de piste mais parvint à se relancer. Conséquence ou non de cette escapade, on avait détecté un problème sur sa monoplace et Michael fut soulagé que son coéquipier soit sa seule "menace". Fisichella compléta avec un troisième podium en saison pendant que Villeneuve s'attirait quelques réprimandes pour une tentative de dépassement des plus "optimiste" qui mit fin à sa journée et à celle de Ralf Schumacher.

Le calvaire de Michael

Le GP de France devait être le début d'une série noire pour le meneur au championnat. Pourtant, tout avait bien commencé quand Schumacher avait mis les voiles pendant que Barrichello retenait les poursuivants. Après être venu à bout du Brésilien au 21e tour, David Coulthard entama une remontée qui déboucha sur un duel intéressant à l'épingle d'Adelaïde au 33e tour. On vit même un "certain doigt" pointer hors du cockpit de la McLaren quand Schumacher lui referma brutalement la porte au nez ! Six tours plus tard, David transforma l'insulte en injure en forçant le passage au même endroit malgré une manœuvre similaire de l'Allemand qui provoqua un contact, heureusement sans conséquences pour les deux voitures. Aux prises avec un ennui moteur qui devait l'éliminer au 59e tour, Schumacher abandonna la deuxième place à Häkkinen, suivi de Barrichello et Villeneuve. C'était le deuxième doublé McLaren à l'avantage de Coulthard cette saison et ce partage des points entre les deux coéquipiers allait plus tard jouer en faveur de Schumacher.

En Autriche, tout se joua dès le premier virage. Qualifié troisième, juste devant son chef de file, Rubens Barrichello leva légèrement le pied pour ne pas lui nuire, mais son hésitation surprit Trulli et Zonta qui suivaient derrière et tout ce beau monde entraîna la moitié du peloton à travers champs et bacs à graviers dans un "chassé-croisé" qui immobilisa définitivement Schumacher. Partis en première ligne, Häkkinen et Coulthard avaient évidemment évité le tumulte et s'offrirent une balade vers le podium. Avec un fond plat endommagé, Barrichello s'estima chanceux de terminer en 3e place, devançant Villeneuve qui additionnait trois points pour un 2e départ consécutif.

Les malheurs de Schumacher se poursuivirent à Hockenheim. Quand il se rabattit devant Fisichella tout en freinant, ce dernier ne put l'éviter et les deux pilotes ne bouclèrent pas un seul tour. L'acteur inattendu de ce GP d'Allemagne fut cependant cet hurluberlu, ancien employé licencié de chez Mercedes, qui força l'entrée du "safety car" en se promenant sur la piste, réduisant ainsi à néant l'écart d'une trentaine de secondes que s'étaient forgés Häkkinen et Coulthard. Parti 18e mais dans une forme resplendissante, Rubens Barrichello signait régulièrement les meilleurs tours, maîtrisait un circuit parfois sec et parfois mouillé, et profitait de quelques drapeaux jaunes pour finalement venir coiffer les deux McLaren au fil d'arrivée. Le Brésilien ne put retenir ses larmes en célébrant son premier triomphe après 123 départs.

Les deux courses suivantes furent l'affaire de Mika Häkkinen. En Hongrie, il jaillit de la deuxième rangée sur la grille pour s'échapper implacablement vers un "cavalier seul". Résistant à la pression constante de Coulthard, Schumacher le devança à l'arrivée pour ainsi mettre fin à sa série d'insuccès. Spa fut le théâtre d'un événement inusité en F1 quand les officiels décidèrent d'un départ roulant (façon CART) en constatant l'état dangereusement détrempé du circuit. Parti 4e, Schumacher prit avantage sur Button et Trulli avant qu'ils ne s'accrochent et s'empara du commandement à la suite d'une faute d'Häkkinen. Le 40e tour fut l'un des moments forts de la saison : au tour précédent, Häkkinen avait tenté une attaque mais Schumacher l'avait "fermement" rabroué. Cette fois, le Finlandais utilisa un "bouclier" (en l'occurrence Zonta qui accusait un tour de retard) en guise de tampon entre lui et son rival et les trois voitures se présentèrent de front au freinage. Étourdi par le "coup de vent", Zonta évita sagement de se mêler aux débats et Häkkinen sortit gagnant de cette spectaculaire passe d'armes.

Avec trois victoires et une 2e place lors des quatre derniers Grand Prix, Häkkinen s'était hissé en tête du classement. Après trois courses sans voir le drapeau à damiers, ces deux podiums ne suffisaient pas à assouvir la soif de Schumacher. Chez les rouges, on se devait de réagir ... ET ON RÉAGIT !

 

Tragédie à Monza !

Début septembre, l'écurie McLaren parut ébranlée quand le différentiel sur lequel elle travaillait depuis plus d'un an fut interdit par la FIA, suite à une plainte de Ferrari. Schumacher régna sur les qualifications et mena presque de bout en bout un GP de Monza amputé de plusieurs éléments. Dès le premier passage à la "Variante della Roggia", un carambolage majeur causa l'abandon de sept pilotes, parmi lesquels Couthard, Barrichello, Trulli et Frentzen. Malheureusement, un commissaire fut atteint par un débris et décéda quelques heures plus tard. Avant même que le pace-car ne soit rentré aux puits, Button fut surpris par le ralentissement soudain des voitures le précédant et tira droit vers le mur. Bien servi par une belle 4e place sur la grille, Villeneuve roulait en 3e position avant d'être trahi par son moteur au 14e tour. Ralf Schumacher profita de l'hécatombe pour s'offrir un 3e podium en 2000, derrière son frère et Häkkinen.

La Formule 1 ne s'était plus arrêtée aux USA depuis les rues de Phoenix en 1991. Pour ce retour, aucun endroit ne pouvait être plus approprié que le mythique "brickyard" d'Indianapolis, où l'on aménagea un circuit plus adapté à la F1 que ne l'était le célèbre ovale. À nouveau détenteur de la pole position, Schumacher fut devancé par Coulthard qui allait bientôt devoir purger une pénalité pour départ anticipé. Bien que l'Écossais déploya tous les efforts possibles pour lui nuire, Michael finit par s'emparer des commandes au 6e tour pour filer sans conteste vers le drapeau à damiers.

Les espoirs d'Häkkinen explosèrent en même temps que son moteur au 25e tour et Barrichello compléta le doublé. Frentzen termina 3e après avoir résisté à une attaque spectaculaire mais sans grands espoirs de Villeneuve qui se retrouva dans les graviers mais ramena tout de même sa voiture à la 4e place.

En se présentant à Suzuka avec un retard de huit points, Häkkinen n'avait aucune marge d'erreur face à une scuderia Ferrari et son leader en pleine possession de leurs moyens. Le Finlandais bondit en tête dès le départ mais ne parvint jamais à creuser un écart conséquent sur Schumacher. Ce dernier, mieux que son rival, tira profit de la circulation dense et de quelques averses passagères et ressortit en tête de son dernier ravitaillement pour faire savourer à la prestigieuse écurie un titre-pilote attendu depuis 21 ans.

Sepang n'était plus qu'une formalité, un long tour d'honneur! Häkkinen rétrogradé pour départ anticipé, c'est Coulthard qui prit les devants mais dès le 18e tour, Schumacher passa à l'action pour conclure avec éclat les efforts des cinq dernières années.

CHAMPIONNAT DU MONDE DES PILOTES

Pos.

Pilote

Nat.

Marque

Pts

1

Michael Schumacher

All

Ferrari

108

2

Mika Hakkinen

Fin

McLaren-Mercedes

89

3

David Coulthard

GB

McLaren-Mercedes

73

4

Rubens Barrichello

Bré

Ferrari

62

5

Ralf Schumacher

All

BMW-Williams

24

6

Giancarlo Fisichella

It

Benetton-Supertec

18

7

Jacques Villeneuve

Can

BAR-Honda

17

8

Jenson Button

GB

BMW-Williams

12

9

Heinz-Harald Frentzen

All

Jordan-Mugen Honda

11

10

Jarno Trulli

It

Jordan-Mugen Honda

6

Tous les résultats comptent

CHAMPIONNAT DU MONDE DES

CONSTRUCTEURS

Pos.

Marque

Pts.

1

Ferrari

170

2

McLaren

152

3

Williams

36

4

Benetton

20

5

BAR

20

6

Jordan

17

7

Arrows

7

8

Sauber

6

9

Jaguar

4

10

Minardi

-

11

Prost

-

 

Championnat:2001

CHAMPIONNAT DU MONDE DES PILOTES

Pos.

Pilote

Nat.

Marque

Pts

1

Michael Schumacher

All

Ferrari

123

2

David Coulthard

GB

McLaren-Mercedes

65

3

Rubens Barrichello

Bré

Ferrari

56

4

Ralf Schumacher

All

BMW-Williams

49

5

Mika Hakkinen

Fin

McLaren-Mercedes

37

6

Juan Pablo Montoya

All

BMW-Williams

31

7

Jacques Villeneuve

Can

BAR-Honda

12

8

Nick Heidfeld

All

Sauber-Petronas

12

9

Jarno Trulli

It

Jordan-Honda

12

10

Kimi Raikkonen

Fin

Sauber-Petronas

9

Tous les résultats comptent

CHAMPIONNAT DU MONDE DES

CONSTRUCTEURS

Pos.

Marque

Pts.

1

Ferrari

179

2

McLaren

102

3

Williams

80

4

Sauber

21

5

Jordan

19

6

BAR

17

7

Benetton

10

8

Jaguar

9

9

Prost

4

10

Arrows

1

11

Minardi

-

 

Championnat:2002

CHAMPIONNAT DU MONDE DES PILOTES

Pos.

Pilote

Nat.

Marque

Pts

1

Michael Schumacher

All

Ferrari

144

2

Rubens Barrichello

Bré

Ferrari

77

3

Juan Pablo Montoya

All

BMW-Williams

50

4

Ralf Schumacher

All

BMW-Williams

42

5

David Coulthard

GB

McLaren-Mercedes

41

6

Kimi Raikkonen

Fin

McLaren-Mercedes

24

7

Jenson Button

GB

Renault

14

8

Jarno Trulli

It

Renault

9

9

Eddie Irvine

GB

Jaguar-Ford

8

10

Nick Heidfeld

All

Sauber-Petronas

7

Tous les résultats comptent

CHAMPIONNAT DU MONDE DES CONSTRUCTEURS

Pos.

Marque

Pts.

1

Ferrari

221

2

Williams

92

3

McLaren

65

4

Renault

23

5

Sauber

11

6

Jordan

9

7

Jaguar

8

8

BAR

7

9

Minardi

2

10

Toyota

2

11

Arrows

2

 
Championnat:2003

CHAMPIONNAT DU MONDE DES PILOTES

Pos.

Pilote

Nat.

Marque

Pts

1

Michael Schumacher

All

Ferrari

93

2

Kimi Raikkonen

Fin

McLaren-Mercedes

91

3

Juan Pablo Montoya

Col

BMW-Williams

82

4

Rubens Barrichello

Bré

Ferrari

65

5

Ralf Schumacher

All

BMW-Williams

58

6

Fernando Alonso

Esp

Renault

55

7

David Coulthard

GB

McLaren-Mercedes

51

8

Jarno Trulli

It

Renault

33

9

Jenson Button

GB

BAR-Honda

17

10

Mark Webber

Aus

Jaguar-Ford

17

10

Heinz-Harald Frentzen

All

Sauber-Petronas

13

Tous les résultats comptent (nouveau barème de points)

CHAMPIONNAT DU MONDE DES CONSTRUCTEURS

Pos.

Marque

Pts.

1

Ferrari

158

2

Williams

144

3

McLaren

142

4

Renault

88

5

BAR

26

6

Sauber

19

7

Jaguar

18

8

Toyota

16

9

Jordan

13

10

Minardi

-

 
Championnat:2004

CHAMPIONNAT DU MONDE DES PILOTES

Pos.

Pilote

Nat.

Marque

Pts

1

Michael Schumacher

All

Ferrari

148

2

Rubens Barrichello

Bré

Ferrari

114

3

Jenson Button

GB

BAR-Honda

85

4

Fernando Alonso

Esp

Renault

59

5

Juan Pablo Montoya

Col

BMW-Williams

58

6

Jarno Trulli

It

Renault

46

7

Kimi Raikkonen

Fin

McLaren-Mercedes

45

8

Takuma Sato

Jap

BAR-Honda

34

9

Ralf Schumacher

All

BMW-Williams

24

10

David Coulthard

GB

McLaren-Mercedes

24

Tous les résultats comptent (nouveau barème de points)

CHAMPIONNAT DU MONDE DES CONSTRUCTEURS

Pos.

Marque

Pts.

1

Ferrari

262

2

BAR

119

3

Renault

105

4

Williams

88

5

McLaren

67

6

Sauber

34

7

Jaguar

10

8

Toyota

9

9

Jordan

5

10

Minardi

1

 

Championnat:2005

 

CHAMPIONNAT DU MONDE DES PILOTES

Pos.

Pilote

Nat.

Marque

Pts

1

Fernando Alonso

Esp

Renault

133

2

Kimi Raikkonen

Fin

McLaren-Mercedes

112

3

Michael Schumacher

All

Ferrari

62

4

Juan Pablo Montoya

Col

McLaren-Mercedes

60

5

GianCarlo Fisichella

It

Renault

58

6

Ralf Schumacher

All

Toyota

45

7

Jarno Trulli

It

Toyota

43

8

Rubens Barrichello

Bré

Ferrari

38

9

Jenson Button

GB

BAR-Honda

37

10

Mark Webber

Aus

BMW-Williams

36

Tous les résultats comptent (nouveau barème de points)

CHAMPIONNAT DU MONDE DES CONSTRUCTEURS

Pos.

Marque

Pts.

1

Renault

191

2

McLaren

182

3

Ferrari

100

4

Toyota

88

5

Williams

66

6

BAR

38

7

Red Bull

34

8

Sauber

20

9

Jordan

12

10

Minardi

7

 

Championnat:2006

 

CHAMPIONNAT DU MONDE DES PILOTES

Pos.

Pilote

Nat.

Marque

Pts

1

Fernando Alonso

Esp

Renault

134

2

Michael Schumacher

All

Ferrari

121

3

Felipe Massa

Bré

Ferrari

80

4

GianCarlo Fisichella

It

Renault

72

5

Kimi Raikkonen

Fin

McLaren-Mercedes

65

6

Jenson Button

GB

Honda

56

7

Rubens Barrichello

Bré

Honda

30

8

Juan Pablo Montoya

Col

McLaren-Mercedes

26

9

Nick Heidfeld

All

BMW-Sauber

23

10

Ralf Schumacher

All

Toyota

20

Tous les résultats comptent (nouveau barème de points)

CHAMPIONNAT DU MONDE DES CONSTRUCTEURS

Pos.

Marque

Pts.

1

Renault

206

2

Ferrari

201

3

McLaren

110

4

BAR

86

5

Sauber

36

6

Toyota

35

7

Red Bull

16

8

Williams

11

9

Toro Rosso

01

10

Midland

-

11

Super Aguri

-

 

 

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