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Turquie E2 : Kovalainen devant Alonso



Kovalainen a été le plus rapide dans la deuxième séance d’essais à Istanbul. Le pilote McLaren devance Alonso de quelques millièmes. Button est à nouveau très loin.

A l'inverse de la séance d'essais libres de ce matin et conformément à d'habitude, il ne faut guère attendre longtemps pour voir les premiers temps tombés cet après-midi. Après quelques tours rapides, Nelson Piquet Jr se hisse rapidement en tête de la session en 1'30''110. Le Brésilien est cependant rapidement délogé par Lewis Hamilton pour sept dixièmes de mieux.
Jarno Trulli confirme le retour en forme de Toyota, sur un circuit où l'aérodynamique à une plus grande place à jouer, en montant au deuxième à seulement 33 millièmes du champion du monde.
Peu avant le premier tiers de la séance, Williams porte haut ses couleurs en tête de la séance avec ses pilotes qui trustent les deux premières places, Kazuki Nakajima décrochant le meilleur temps en 1'29''091.
La chance de ne semble pas sourire à Sebastian Vettel ces derniers temps. Après ses problèmes mécaniques en Espagne, son accident dans les rues de Monaco, l'Allemand est arrêté en piste entre les virages 1 et 2. Il a abandonné sa RB5 que les commissaires s'empressent de sortir en-dehors de la piste.
Alors qu'Heikki Kovalainen occupe la tête de la séance en 1'28''841, son équipier Lewis Hamilton part en tête-à-queue, après avoir trop attaqué le vibreur intérieur du virage n°1. Le Britannique a ainsi endommagé son train de pneus tendres. Quelques minutes plus tard, le champion du monde réitère sa faute en partant une nouvelle fois en tête-à-queue.
La séance est ensuite assez calme, à l'exception de plusieurs pilotes qui partent à la faute dont Kazuki Nakajima en tête-à-queue et Nelson Piquet Jr qui sort large au premier virage. Il faut attendre les dernières minutes de la session pour avoir de nouveau de l'animation, cependant personne ne parvient à déloger Heikki Kovalainen - Fernando Alonso échouant à six millièmes du Finlandais.
Le pilote McLaren Mercedes termine donc en tête de cette deuxième séance d'essais libres devant l'Espagnol et Robert Kubica. Kazuki Nakajima, Sebastian Vettel, Jarno Trulli, Nico Rosberg et Rubens Barrichello complètent le top 8.

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Turquie E1: Rosberg prend la tête !



Nico Rosberg s'est montré le plus matinal de cette première séance d'essais libres du Grand Prix de Turquie en 1'28''952. L'Allemand, habitué à cette première place lors des sessions d'essais, devance de trois dixièmes Lewis Hamilton et Jarno Trulli.

Aucun pilote ne descend en piste lors du premier tiers de cette séance, à l'exception pour effectuer un ou plusieurs tours chronométrés. Etant donné que le circuit d'Istanbul n'est utilisé que pour la Formule 1 ces dernières années, les équipes attendent la fenêtre optimale pour débuter leurs essais.
Lewis Hamilton est ainsi le premier pilote à réaliser un tour chronométré, après 34 minutes d'essais. Le Britannique enchaîne plusieurs tours, mais il ne parvient pas à en obtenir un propre, partant à la faute dans plusieurs virages. Son équipier Heikki Kovalainen prend également la piste, en pneus tendres.
En raison de la saleté présente sur la piste, le Finlandais par également dans l'herbe, alors que Timo Glock commet un tête-à-queue dans son premier tour lancé. Premier en piste, Lewis Hamilton a maintenant ses pneus en température et porte le chrono en 1'30''247.
Les erreurs s'enchaînent en piste étant donné le peu de gomme déposée sur le tracé : Kimi Räikkönen, Giancarlo Fisichella, Felipe Massa partent également à la faute, principalement au freinage du premier virage. Les pilotes peuvent traditionnellement le prendre ne freinant à 80 m, mais en raison du niveau d'adhérence encore assez faible, ils se font surprendre.
Felipe Massa est survolté en piste, réalisant le meilleur tour en 1'29''812. Le Brésilien affectionne tout particulièrement le circuit d'Istanbul, sur lequel il s'y est imposé ces trois dernières années.
Au deux tiers de la séance, Lewis Hamilton augmente la cadence en 1'29''319, alors que Jarno Trulli pointe le museau de sa TF109 au sixième rang, à une demi-seconde du Britannique. Le circuit d'Istanbul convient mieux à la Toyota car l'aérodynamique y est importante.
Le drapeau rouge est déployé à 18 minutes de la fin de la séance. Plusieurs morceaux du tapis d'herbe artificielle se sont décrochés à la sortie du virage n°1, entraînant plusieurs pilotes à la faute lorsqu'ils sortent trop larges à cet endroit. Le chrono continuant à défiler malgré l'arrêt de la séance, le temps perdu ce matin ne sera pas rattrapé.
La session est réouverte à un quart d'heure de la fin. Il faut cependant attendre les derniers instants de la séance pour que plusieurs pilotes améliorent le chrono. Le dernier mot revient finalement à Nico Rosberg en 1'28''952.

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MegaFon devient sponsor de Renault

L’entreprise de télécommunications russe MegaFon sera sponsor de l’équipe Renault à partir du Grand Prix de Turquie.

Dans le cadre de cet accord, le logo MegaFon sera présent sur les combinaisons de Fernando Alonso et Nelson Piquet, ainsi que sur le plancher en fibre de carbone (devant les roues arrières) des monoplaces R29 dès le Grand Prix de Turquie et pour le restant de la saison.

" La Russie est un marché très significatif dont l’importance ne cesse de croître au sein de l’économie mondiale . C’est donc un marché considérable pour la Formule 1 et notre partenariat avec MegaFon nous permettra de communiquer avec un nombre très important de fans de Formule 1 dans toute la Russie. " Souligne Flavio Briatore

" Ce partenariat avec ING Renault F1 Team, une des équipes les plus populaires dans le monde du sport automobile, est un très grand honneur pour nous . Depuis sa création, notre entreprise a toujours prêté main forte au développement du sport. Ces dernières années, l’entreprise avait des partenariats avec des clubs de football et de hockey. Récemment, MegaFon a annoncé son partenariat en tant qu’operateur mobile officiel des Jeux Olympiques d’Hiver 2014 qui se dérouleront à Sochi. Le nouveau partenariat avec Renault F1 Team présente une opportunité unique pour MegaFon, celle de démontrer ses capacités d’operateur de téléphonie mobile dans un cadre international. La Formule 1 est proche de la culture de MegaFon et les deux partagent une même philosophie : la perfection, le développement de hautes technologies, obtenir de bons résultats et une volonté incessante de se battre pour de nouvelles victoires." Ajoute Andrey Kraynik, le directeur général de MegafonKavkaz.

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Turquie: Bourdais optimiste

Une 8e place à Monte-Carlo a conforté Sébastien Bourdais dans sa compréhension de sa Toro Rosso. Le pilote français arrive en Turquie avec des idées bien précises.

Sébastien Bourdais a repris le dessus à Monte-Carlo. Il était temps, car le débutant Sébastien Buemi lui faisait sérieusement de l'ombre. Le Français, qui fut vainqueur en Formule 3000 en 2002 avant son exil étasunien, a fait un peu mieux que son coéquipier suisse pendant deux jours d'essais, et beaucoup en course. Huitième d'une course infernale qui aura semble-t-il trop joué avec les nerfs de son partenaire, curieusement rentré dans la Renault de Nelson Piquet.

"Le week-end de Monaco s'est bien passé, j'ai ramené un point ce qui est toujours bon pour le moral, spécialement sur une course aussi prestigieuse", résume Sébastien Bourdais. "C'était une bonne course et j'espère que nous pourrons continuer à avancer sur ce rythme, à commencer par la Turquie. Nous commençons à avoir une meilleure compréhension de ce que nous faisons avec la voiture, ce qui devrait nous permettre d'en tirer la quintessence à partir de maintenant".

La 7e des 17 manches du Mondial se présente sous les meilleurs auspices, ce week-end, à Kurtkoy, banlieue sud-est d'Istanbul. Rien à voir avec le tableau de 2008, lorsque les blocages à répétitions du train arrière de la machine de Faenza l'avait conduit dans un bac à gravier, au 26e des 58 tours prévus.

"A Istanbul, nous allons courir avec une voiture qui je l'espère va nous donner la clé pour extraire tout le potentiel de notre package", poursuit l'Helvétique d'adoption, qui retrouvera ses pénates mancelles pour Peugeot la semaine prochaine (24 Heures, 13 et 14 juin). "Jusqu'à présent, cette année, il fallait attendre les essais du vendredi pour voir comment la voiture marchait pour définir un set-up. Mais ce week-end, nous allons démarrer avec une bonne idée de ce que nous voulons et ça devrait nous permettre de plus progresser durant le week-end. C'est toujours bon d'arriver à une course dans ces conditions .En ce qui concerne le circuit en lui-même, il est sympa, même s'il manque de grip .Le virage significatif est le 8, où il faut avoir une voiture stable sur les bosses qui caractérisent ce virage, mais l'Istanbul Park ce n'est pas juste un virage ; la performance pure implique d'avoir une voiture bien équilibrée partout".

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Turquie: Tour de Circuit virtuel