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Flavio Briatore, directeur général de ING-Renault F1 Team, déclare avoir une obligation de réussite pour conserver Fernando Alonso dans son équipe.

indique Briatore au journal allemand

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 Alonso a prolongé son contrat jusqu'à fin 2010 avec Renault, alors que celui de Nelson Piquet Jr est fin 2009.

Fernando Alonso espère que Renault va profiter des changements dans les règlements pour redevenir l’une des meilleures équipes du plateau. Il veut se battre pour le championnat.

"L’avantage est qu’en pratique, tout le monde repart à zéro, " a expliqué  Alonso lors d’une cérémonie caritative de l’UNICEF, selon le site web de la BBC.

Il espère que cela va profiter à Renault :

" L’an prochain, je vais tenter de devenir champion du monde. On ne peux pas débuter le championnat sans penser qu’on va le gagner. Mon but est de remporter le titre, c’est un objectif très clair, même s’il pourrait changer pendant la saison. "

S’il apprécie ces nouveautés réglementaires, Fernando Alonso est en revanche totalement opposé à l’idée du moteur standard : la FIA a menacé de l’imposer si les constructeurs ne s’accordent pas pour fournir aux petites équipes des ensemble moteur/boîte de vitesses à moins de cinq millions de dollars par an.

" S’ils approuvent le moteur unique, ce serait la goutte d’eau qui fait déborder le vase, " prévient Fernando. "Il serait temps de penser à la retraite."

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McLaren fait le point avec le KERS

L’introduction du système KERS va changer la façon de travailler des équipes en 2009. Plusieurs membres de McLaren,  ingénieurs et pilotes, font le point sur son développement et sur son influence.

A partir de la saison 2009, les équipes pourront utiliser un système de récupération de l’énergie cinétique (KERS). L’énergie générée lors des freinages sera récupérée puis stockée, et le pilote pourra la réutiliser en appuyant sur un bouton pour bénéficier d’un gain de puissance.

McLaren a débuté les essais en piste de son KERS Barcelone. Lors des derniers tests de la saison, McLaren aura une MP4/23K dotée du système, avant d’intégrer un KERS prêt à disputer des courses sur la MP4/24, la future monoplace de l’équipe. McLaren va également poursuivre ses essais sur l’aérodynamique et les pneus avec une MP4/23 classique.

"Pour nos premiers véritables essais, nous voulons nous assurer que le système peut passer les vibreurs et subir des vibrations que nous n’avons pas forcément vu lors des essais aérodynamiques .Jusqu’à présent, nous avons extrait une faible quantité de puissance de notre KERS et nous n’allons pas utiliser la puissance maximale immédiatement. Nous allons le faire pas à pas. "

Contrairement à d’autres éléments de la monoplace tels que le moteur, les équipes auront une liberté totale dans le développement de ce système." Il y aura clairement un développement constant du KERS au cours de l’année," précise Paddy Lowe," Il faut garder à l’esprit que le bénéfice de performances idéal du KERS est plafonné, parce qu’il y a des limites de puissance et d’énergie. Donc en supposant que l’on atteint ce plafond, il faut regarder d’autres domaines comme réduire le poids, le rendre plus efficace ou le rendre plus fiable. "

Le KERS n’aura pas le même impact sur chaque piste et cela pourrait favoriser le spectacle :

" Il aura plus d’influence sur certaines pistes que sur d’autres, donc la hiérarchie pourrait changer un peu de circuit en circuit."

Des réglages précis

Le travail des pilotes va beaucoup changer en 2009. Au delà de l’adaptation aux appuis aérodynamiques plus faibles et aux pneus slicks, ils pourront désormais régler l’inclinaison d’un élément de l’aileron avant depuis le volant et ils devront utiliser le KERS au bon moment. Mais le système implique également d’autres changements.

" Il demande des réglages très précis sur la voiture, surtout au freinage " confie Pedro de la Rosa, le pilote d’essais de McLaren, sur le site de l’équipe.

« Le KERS se recharge lui même, donc quand on freine cela génère une résistance supplémentaire qu’il faut réussir à compenser pour retrouver l’équilibre. Cela implique une interférence avec le frein moteur et l’équilibre des freins. Il faut trouver le meilleur compromis. Ce n’est pas seulement régler le KERS et aller plus vite, il faut tout équilibrer avec le système complet. S’il n’est pas correctement réglé, ce sera très brutal. La difficulté sera d’adoucir toutes les transitions."

Certaines équipes sont plus en avance que d’autres avec leur KERS. Honda, BMW et Williams ont effectué plusieurs essais en piste mais Ferrari n’a pas encore fait d’essais avec la totalité du système. Toyota a repoussé l’arrivée de son KERS et l’écurie japonaise ne l’aura sur sa voiture qu’en cours de saison, même si dès essais sont prévus dès janvier.

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Superleague Jerez: Borussia Dortmund conclut- Course 2

James Walker a remporté la dernière course de la saison en Formule Superleague à Jerez. Le pilote du Borussia Dortmund a bénéficié dune erreur d’Alessandro Pier Guidi (Galatasaray).

Pier Guidi a dominé l’épreuve mais Walker s’est rapproché dans la dernière partie de la course. Pier Guidi a fini par faire un tête-à-queue qui a offert la victoire à Walker, qui n’avait pourtant pas participé aux essais.

Antonio Pizzonia (Corinthians) termine deuxième alors que Davide Rigon, qui a mené le Beijing Guoan au titre, complète le podium.

Alessandro Pier Guidi termine finalement quatrième devant le Français Franck Perera (AS Rome). L’autre tricolore, Tristan Gommendy, a pris la douzième place pour le FC Porto.

La course a été marquée par le violent accident de Max Wissel (FC Bâle), dont la voiture a décollé avant de percuter le mur de pneus, suite à un accrochage. Il es sorti indemne de sa monoplace.

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Superleague Jerez: Milan gagne - Course 1

Robert Doornbos a remporté la première course du week-end en Formule Superleague à Jerez pour le club du Milan AC, en profitant des problèmes de Adrian Valles (Liverpool). Davide Rigon, neuvième, permet aux club de Pékin d’être titré.

Adrian Valles a dominé toute la course et il avait une dizaine de secondes à l’entame du dernier tour lorsque sa voiture a eu un problème technique qui l’a ralenti.

Robert Doornbos, qui avait gagné des positions lors des ravitaillements, s’est donc retrouvé en tête. Il s’est imposé devant Antonio Pizzonia mais le pilote des Corinthians a été pénalisé de trente secondes pour un problème lors d’une ravitaillement.

La deuxième place revient donc au Français Tristan Gommendy (FC Porto) devant Duncan Tappy (Tottenham Hotspur), Craig Dolby (Anderlecht), Franck Perera (AS Roma) et Borja Garcia (FC Séville).

Adrian Valles est finalement classé septième. Davide Rigon (Beijing Guoan) n’est que neuvième mais c’est suffisant pour assurer à Pékin le premier titre de l’histoire de la Superleague.